Il arrive un moment où c'est trop. Trop de
Il arrive un moment où c'est trop.
Trop de bredele (vous savez, ces petits gâteaux de Noël alsaciens). Trop de choses qui s'accumulent partout, dans le salon et dans la tête. Trop de bonnes affaires à faire en fin de soldes alors que même l'envie n'est plus là (quant aux besoins...). Trop de projets que l'on aimerait concrétiser. Et du coup, trop de rumination mentale pour faire rentrer tout ça dans l'ordre du possible, alors que c'est... impossible.
Ce sera une chose à la fois...
Les bredele sont passés à la poubelle (il n'en restait pas beaucoup...), je vais faire une saignée dans les abonnements magazines et autres futilités, je vais ranger le salon à fond si Gustave veut bien dormir 2h, je vais me faire une théière de thé Détox (sans le bredele à côté, donc...) et m'atteler à une cuisine plus "light".
Cet après-midi un couvreur passe pour un devis pour le toît, nous avons une infiltration...
Sur le calendrier j'ai enfin noté un rdv chez l'ophtalmo, pour jeudi n'est-ce pas miraculeux ? Il faut bien régler ces problèmes pratiques et matériels qui nous grignotent une parcelle du cerveau une fois pour toutes.
Santé du corps, santé de l'esprit. Ce n'est pas pour rien que le printemps existe, il nous permet de faire enfin le ménage en grand. Ca commence doucement aujourd'hui même si les beaux jours sont encore loin. Ca commence avec ce besoin vital de revenir à la simplicité. J'ai besoin d'air.